Un mois de vie au bord du Pacifique, c’était un mois pour simplement « être ».
Retrouver le rythme du temps qui passe et se prélasse.
Ne pas courir.
Regarder, écouter, sentir.
Manger des fruits et du poisson plus que de raison.
Au revoir douce Cabuya.
Tu as été une belle entrée entre parenthèse.
Un beau début de rêve qui se réalise.
Dernière nuit, la voie lactée, comme cadeau du ciel.
Dernier matin, dernier reflet de Narcisse.